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Actualité — Publié le 03 avril 2019 à 10:00 par Pierre Lunn
«Le Parc des Merveilles est… ouvert »
Le film commence par un spectacle merveilleux… Peanut le chimpanzé aux cymbales s’affaire à travers le parc d’attractions. À ses côtés on trouve Boomer, l’ours bleu maladroit ; Gus et Cooper, les deux castors vifs comme l’éclair et Steve, le porc-épic qui veille à la sécurité de tous. C’est un îlot de bonheur : les enfants accompagnés de leurs parents peuvent faire les grands huit les plus fous, sous le regard de ces personnages qui sont un peu plus que de simples mascottes… Car il y a quelque chose de vraiment magique au Parc des Merveilles. À la demande des touristes, Peanut peut créer un nouveau manège par un simple coup de stylo magique. Il lui suffit d’écouter une voix qu’il est le seul à entendre et qui lui inspire les plus folles attractions…
Jusqu’au bout du rêve
Cette voix, c’est celle de June, une fillette de 10 ans qui vit dans une banlieue américaine avec son père et sa mère. Le Parc des Merveilles est le fruit de son imagination ; l’expression de ses rêves et de ses jeux les plus intimes. June a construit ce parc avec sa mère à partir de bout de ficelles et de boîtes de carton ; et son imagination débordante lui a donné vie… Un peu casse-cou (elle imagine dans la vie réelle des courses folles à travers les jardins de son quartier), c’est une jeune aventurière joyeuse entourée d’une bonne bande de copains. Mais des nuages vont assombrir son quotidien. June va alors délaisser son parc pour gérer ses problèmes. Or, sans elle, la vie du parc et de ses mascottes est en danger. Les attractions rouillent, les mauvaises herbes envahissent les chemins et des petits singes maléfiques détruisent tout. Peanut et Boomer n’arriveront pas à sauver le parc tout seul… On n’en dira pas trop, mais June va tomber « pour de vrai » dans son parc et venir à la rescousse de ses créatures… Le Parc des Merveilles est d’abord un formidable film d’aventure. Des incroyables séquences sur les manèges aux missions commandos, les scènes échevelées, drôles ou plus intenses, s’accumulent pour le plus grand plaisir des spectateurs. Avec un art consommé de la narration, le film multiplie aussi les idées de cinéma et les pistes empruntées – toutes se reconnecteront de manière magique à la fin. Mais c’est aussi un beau portrait. June, loin des stéréotypes et des clichés, va devoir surmonter ses problèmes pour grandir. Forte, maline, et crédible, elle n’est pas le moindre atout de ce beau film qui traite en sourdine de ce qu’il se passe dans la tête d’un enfant qui quitte les rivages de l’enfance pour le monde tumultueux de l’adolescence.
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